Suivez-nous l’espace d’un instant pour explorer les relations complexes et fusionnelles qui existent entre la notion de « Cultiver l’avenir » et la préservation des zones humides.
Notre agriculture moderne et les zones humides coexistent dans une relation bénéfique mutuelle, qui permet d’allier écologie et durabilité. Les pratiques agricoles peuvent contribuer à préserver voire à participer au développement de ces écosystèmes.
Pour optimiser les impacts positifs de l’agriculture sur les zones humides, il est essentiel de promouvoir des pratiques culturales responsables. Cela implique un recours aux intrants raisonné, des pratiques de travail du sol adaptées et de limiter les risques de ruissellement pouvant susceptible d’atteindre les eaux de ces zones humides. L’ensemble de ces mesures contribue à protéger les bassins versants et à bénéficier aussi bien aux zones agricoles qu’aux zones humides adjacentes.
La culture du riz ou l’irrigation contrôlée participe à la régulation du niveau des eaux des zones humide, reproduisant les phénomènes hydrologiques naturels. Ces pratiques peuvent bénéficier en évitant des variations extrêmes du niveau des eaux, nuisibles aux habitats naturels hébergés dans ces zones.
Dans certaines situations, les surfaces agricoles constituent des zones tampons entre les zones urbanisées et les écosystèmes fragiles des zones humides. Elles préviennent l’empiètement des zones urbanisées sur les zones naturelles et préserver leur intérêt écologique.
L’agriculture durable et ses pratiques sont pourvoyeurs d’une manne financière pour l’entretien et la sauvegarde des zones humides et le maintien d’un tissu économique au sein de ces zones permet de garantir la présence de moyens humains et financiers pour la préservation de ces écosystèmes sensibles.
Tout autour de l’Europe, de nombreux exemples d’aménagements responsables des territoires combinés à des pratiques durables nous prouvent que zones humides et agricoles peuvent coexister de manière interdépendantes et bénéfiques les unes pour les autres.
La conservation des zones humides et leur intégration dans le paysage agricole peut se voir comme un parfait exemple de « symbiose ». Le maintien et l’entretien des zones humides ne sont pas seulement des gestes écologiques, ils sont un investissement dans l’avenir de notre agriculture. Une eau plus propre, des sols riches et une résilience face au chaos climatique - voilà les bénéfices que nous récoltons lorsque nous choisissons de veiller sur les zones humides.
Au travers de son programme Nerthus, Ascenza promeut une agriculture durable en contribue à la protection de la biodiversité et de l'environnement des zones protégées. Les exemples mentionnés ci-dessus pavent la route à suivre pour le futur. Dans ces régions où cohabitent agriculture et respect des zones humides, la faune, la flore, l’environnement et les habitants sont récompensés de ces efforts communs.